Bien sur

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Al.Hy est très branchée « The Voice » et consort pour sur, mais aussi « Télé Réalité »; outre qu’elle aime bien, ça fait aussi partie de sa crèmerie en somme. Jenifer, par exemple, en est un fruit.

Ici, c’est pas mon truc.. sauf ce qui concerne la chanson – et même, ce n’est plus systématique. Ecoeuré que je suis, par les bidouillages, des tripatouillages de décomptes SMS, des triches TF1.. à de rares exception : les gagnants que du vomis.. que du parachutage; la saga Al.Hy en apportant une preuve manifeste : tout le monde, les spectateurs, les SMS, la populace – la donnait gagnante .. et voilà l’honnêteté de TF1 : on nous prend pour des ânes.. et l’âne que je suis ne regarde pas la télé.

Mais c’est vrai que la télé-réalité est souvent une porte d’entrée pour de futurs excellents artistes.

Derrières ces émissions assez débilitantes de télé-réalité, se cache la possibilité de révéler un réelle capacité de comédie puisqu’il n’y a « que du vent » par définition; seuls d’excellent comédiens sont capables de nous faire avaler que Nadia est amoureuse de Toumba-toumba. Des chanteurs (Jenifer) des comiques aussi, sont découverts.
Les producteurs en sont les premiers consommateurs.

Comment explique t-on l’interet des spectateurs pour la téléréalité …
Image & société : La téléréalité. Parties du TPE. Comment explique t-on l’interet des spectateurs pour la téléréalité ? La téléréalité exerce un extraordinaire …

http://tpe-telerealite.e-monsite.com/pages/comment-explique-t-on-l-interet-des-spectateurs-pour-la-telerealite.html

Dans un genre similaire.. ces séries de vampires ou des séries apparemment débiles comme « Kaamelott », « sans queue ni tête », sans début et sans fin, le problème (s’il en est), c’est qu’on s’y habitue très bien.

Aux Etats-Unis d’Amérique du Nord, il est des écoles de spectacles efficaces et cruelles où tu apprends d’abord TOUT, des claquettes au trapèze avant de prétendre à ton premier petit rôle .. tu es toujours « rôdé »; là bas, le spectacle, c’est un métier comme un autre tandusqu’en France, il n’y a rien de trop structuré.. quelques cours d’arts dramatiques plutôt minables, des « petites écoles de la chanson », ou alors, c’est l’EF2M archi pro mais qui n’en reçoit pas 3000 par an.

Par contre, il y a quarante ans, on avait déjà quelques émissions télé.. de ces Cocorico girls des Stéphane Collaro – des « théâtres »/ écoles du spectacle comme ce « Grand Orchestre Spelendid » des Carlevaris, « Le Petit Théâtre de Bouvard », des La Classe qui virent naître des J.M Biguard..
Puis débarquèrent ensuite tous ces sitcoms genre « Les filles d’à côté » (1), « Hélène et les garçons » (où on sent poindre la télé-réalité) qui « embauchaient » beaucoup pour en élire quelques uns.. comme la téléréalité.

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On rigolait de tout et de tous.. des noirs, belges ou de nos propres curés ou politiciens, même de nous-mêmes « béret-baguettes » « .. des phoques [homos – Ndr] pour une affaire de morses » qui mènerait maintenant droit devant le juge.

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C’était encore très « béret-baguette ».. sympa car pas encore pollué rap et compagnie.

Apprendre le spectacle en France, c’est le parcours du combattant car « comédien », c’est moins « sérieux » que boucher-charcutier; c’est latin.. la marque au fer rouge laissée par la Comedia del Arte. Alors, pour sa promo_médiatique : le débutant est obligé de jouer des coudes, de « promotions canapé » ou au mieux : des promos Taratata ou Fort Boyard.

Ainsi, ce sont indirectement ces émissions à distraire le téléspectateur qui servent à produire de nouveaux talents. des émissions débiles à première vue mais dont le rôle est d’utilité publique si j’ose dire.

(1) Jean-Luc Azoulay, Dorothée & Cie.

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