J’insiste

linux mint 4

Un nouvel ami est passé par ici voilà 15 jours… Sauter dans les Flaques de Sébastien Blanrue..

Il publie sur sa feuille : « Anagrammes, piques épiques alcool et drames. » dont le seul titre est un morceau de bravoure à lui seul.
L’article aussi est un « morceau » .. mais PAS QUE – c’est pour ça que j’insiste lourdement.

C’est aussi la brochette de commentaires aussi est digne d’intérêt.. sauf les salutations distinguées dont on se moque mais au vu des auteurs de commentaires, on trouve une bonne vingtaines d’autres sites tout aussi amusants, décalés – pour la plupart déjantés à la Desproges.
Pour mon compte personnel, je dirai « dérision » oui, mais Jean-Marie Bigard et les gros sabots, je dirai : moins. Mais je n’en veux pas à ses amateurs.. il en faut pour tout le monde.
La vulgarité n’apporte rien.. confondre les grossièretés avec le comique, c’est pas mon truc.

Tiens : j’ai un bon exemple de comparaison – la vulgarité au comique, au désopilant, c’est un peu comme l’écart entre le sexy et le porno. Le sexy – c’est une montagne d’accessoires, de falbalas, de coquineries, alors que le porno : c’est d’la barbaque.

La vulgarité comme qualité & Pour Mlle Sydony peut-être, mais pas pour Al.Hy

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Là, on évoque deux trucs :

  • La vulgarité sympathique dans les médias et
  • Trop en faire question maquillage
  • .
    Item #1 :

    On a quatre cas d’espèces :

  • Cette fille dans la série TV récente des « Sherlock Holmes » : Rachel McAdam
  • puis – La fille dans la série « The Finder ».. Maddie Hasson.
  • Et enfin, les deux dernières/nouvelles actrices (« Amy » (1)) féminines dans « Dr Who ».
  • Clara Oswald et Billie Piper.
  • .
    dans le désordre.

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    Toutes les quatre ne sont pas des bimbos dignes de Playboy.. elles ont des frimousses passablement ordinaires, voire vulgaires mais qu'elles sont tellement attachantes.
    Comme quoi : il faut se méfier – même de cette fille qui monte devant vous, dans le métro, peut avoir un « quelque chose » de craquante – suffit de chercher.

    Item #2. C'est pas difficile : s'il ne tenait qu'à Al.Hy – hors renforcer les ongles à doup de Dior : elle ne se maquillerait pas.
    Le second thème c'est "Comment peut-on trop en faire" ou : "les limites du maquillage".
    Ce sont des pubbes récentes qui vantent des ailes de papillons en guise de cils.
    Et on y voit des cils.. des cils, mais des cils que la moindre bourrasque risque de porter tort aux porteuses de ces postiches.. Postiches pour potiches, que je me risquerais.

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    C’est vrai que pour un petit thon – améliorer la nature le temps d’une boite de nuit.. dans la pénombre c’est sympa, mais les limites elles aussi, ont leur limite.

    Vous voyez où on veut en venir avec ces deux items un peu contradictoires.. c’est que rien ne vaut le naturel.
    Qu’il vaut mieux savoir que votre comparse pue de la g.. dès le premier réveil.
    J’ai une copine blacke.. que la première fois q’elle a retiré sa perruque.. ça fait tout drôle 😉

    Par contre : c’est vrai qu’un trait de rouge sur les lèvres d’une fille à la peau claire de lune (comme Al.Hy), c’est un clin d’oeil paradisiaque.

    (1) Karen Guillian (dernière illustration) as « Amy » (prononcer [é-mie]) Karen qui est une pure perle rouquine scotish à côté de ces deux sympathiques noiraudes.